Encore un jour, des heures qui s'envolent

chagrin au coeur qui ne s'atténue pas

Qui suis-je donc à t'attendre et à t'espérer ?

Suis-je donc pour toi aussi indésirable ?

Je pense que tu ne fais pas juste étudier le monde

mais que moi, tu m'as jugée et déjà cataloguée

Tu ne sais pas comment ton silence me blesse

comment je suis au fond de l'abîme

Toi, tu t'amuses avec tes randonnées et tes amies

pendant que moi je meurs chaque jour un peu plus

Qui suis-je donc maintenant, désormais?

Qu'un grain de sable que l'on piétine

J'avais confiance en moi quand je t'ai connu

J'ai savouré le bonheur un instant

J'espérais en de beaux lendemains

Je rêvais à un grand amour

Mais ce rêve est parti en fumée

à la dérive avec ton silence et ton absence

Qu'ai-je donc fait pour mériter si triste sort

Je ne veux vraiment plus vivre

J'ai si mal que je voudrais pouvoir donner ma vie

en échange de tous ses guerres qui s'arrêteraient

Mais ça impossible, d'ailleurs je ne crois plus en rien

Il ne me reste qu'à partir...............................

Aujourd'hui, il a neigé sur mes yeuxl

comme mon âme, le ciel était d'une blancheur indescriptible

Dans ma tête, la brume s'était levée

et je te voyais, je n'osais respirer

Temps de brume, temps d'hiver où meurt presque la nature

où personne ne vient frapper à ma porte,

ha que j'aime ce temps-là car je ne veux voir

personne d'autre que lui, le vent

®Janedeau

Journée triste sans envol de papillons au fond du coeur

sans frisson d'abandon dans les bras du vent

Dans ma tête, il y a ce mélange de paradis perdu

et d'espoir vraiment parti en fumé

je n'ai envie de rien du tout

ni même voir la lumière du jour

Le soleil passe sans moi sans la beauté de la terre

je ne suis plus là, mon âme voyage

vers des contrées inconnues encore de tous

mais comme elles m'attirent et je ne sais jusqu'à quand...

Mon hypersensible Amour

Je ne peux pas croire que tu sois si insensible à ma douleur

Non, je ne peux le croire mais mon imagination me trouble l'esprit

et m'emporte vers des contrées où l'on ne revient jamais

Le silence plane comme  la volée d'oiseaux dans les champs

et je n'entends plus leurs trilles chanter

où me mènera ce voyage qui fait si  mal

Quand l'ombre de l'absence me reviendra-t-elle. ?

Hélas, si elle tarde,  peut-être je ne serai plus là...

Mais je ne peux rien promettre.

Le silence du vent

Il y avait un jardin qu'on appelait la terre...

mais aujourd'hui le silence frissonne dans le cœur de l'hiver

Le vent passe sans s'arrêter

son refuge habite les boisés et ses amies et les haltes routières

Je suis seule en cette journée où tombe la neige sur mes yeux

Je n'ai pas pas envie de rien faire ni même de rêver

L'espérance est morte au fond de mon coeur

et mon âme voltige vers des contrées qui vous sont totalement inconnus

C'est dans les brumes que je m'enfonce avec au calice des lèvres

ses breuvages qui nous portent en exil

Mais comment m'arrêterai-je donc....

Où me conduira mon exil ?...