•  

     

     

     

     

     

     

     

    Encore un ancien écrit

    publié déjà dans l'un de mes recueils

     

    Vous souvenez-vous

     

    Duc D’Orlan De Chateauguay
     
    Ce soir, face à ma fenêtre, dans la pénombre de la clarté de lune. Je vous écrits à l’encre violette de ma plume, ses quelques mots. Je ne sais quand votre voyage autour du monde vous ramènera en votre château. Vous m’aviez parlé aux alentours du 10 d’octobre…
    Nous sommes aujourd’hui le 11, date mémorable, j’ai appris que vous étiez arrivé de nuit passée. Porterez-vous attention à mon message dans l’anonymat de vos serviteurs étant peu soucieux de nos amours ?  Je vois déjà d’ici la belle Anastasia dans ses plus beaux atouts, se promenant dans vos jardins luxuriants et minaudant à votre oreille, des fadaises ridicules.
     
    J’ose espérer que vous me lirez sans tarder et traverserez le jardin des roses pour me rencontrer.
     
    Vous souvenez-vous de nos promenades sous la voûte d’un ciel rougeoyant, frivoles nous marchions jusqu’à la grande crique cachée des regards impudiques. Il y avait des éclairs flamboyants dans nos yeux et le ciel prêt à s’effondrer s’accrochait à nos étreintes. Quel songe éternel, en votre absence, je n’ai cessé de refaire chaque soir.
    Chaque nuit portait un voile de douceur qui m’enveloppait tels vos bras autour de ma taille.
     
    Sur la toile du paysage coloré d’un millier de fleurs, je me laisse emporter dans l’essence frissonnante de votre personne. J’ose espérer que des souffles d’amour viendront enfiévrer votre cœur et qu’en ce soir de pleine lune, vous viendrez à ma rencontre.
     
    Votre bien-aimée Éloïse

    ©Janedeau


    1 commentaire
  • Ici égalent sont  toutes d'anciennes poésie déposées

    publié dans l'un de mes trois recueils

    Donc tout plagiat est interdit

     

     

     

     

    .

     

    .Amour, amour
     
    Amour, amour, où êtes-vous, que devenez-vous ?
    Voyez-vous encore pleurer les champs de fleurs ?
    L’automne à nos portes, indifférent, fane mon cœur.
    Et me noie sous l’empire des tourments jaloux.
     
    Cette autre dans vos bras, vous inspire-t-elle confiance
    De galantes pensées à la rébellion de votre âme ?
    Saurait-elle par hasard, attiser les feux de votre flamme?
    Venant de ses pays lointains, elle fait montre d'innocence
     
    Que savez-vous des amours passagers, de cette fièvre
    Qui ne couvera qu’un seul instant au nid d’une nuit torride ?
    Votre gite sur les sables mouvants d’une terre aride
    Vous emportera assurément la grâce d’une étreinte mièvre.
     
    Revenez à la raison mon cher amour, vous et moi, savons
    Que c’est écrit dans les étoiles, que le fil de notre histoire
    Remplit de tendresse et d’amour incendie tous les soirs
    Et à jamais éclairera tous les faisceaux de notre maison.
     
    J’aurai pour vous toutes les saisons des mélodieux printemps
    Nos baisers éternels rendront jaloux la noce des oiseaux lyres.
    Venez, oubliez ce gentilhomme qui n’était que faux prétendant
    Qui ne voulait, pour notre grand amour, salir et démolir.
    ©Janedeau

     

     


    1 commentaire
  • Ici égalent sont  toutes d'anciennes poésie déposées

    publié dans l'un de mes trois recueils

     

     

     

    Le caroussel de vos émois

    Le carroussel de vos émois

     

    .

    Le carrousel de vos émois

     

    Cette petite fête sans vous mon cher ami

    Me trouble encore plus que je ne l’aurais pensé

    Votre voix, dans l’assemblée,  me manque.

    Le cercle de vos amis ne parle que de chasse

    Et d’exploit fait pour conquérir le cœur de la reine

     

    Tous ses bavardages m’ennuient fortement

    Et ses jouvencelles regroupées tout autour

    Ressemblent atrocement à un troupeau

    D’oies blanches réunis caquetant inlassablement.

    Entouré de ces galants soupirants, je me meurs.

     

    Le carrousel de vos émois tourne et tourne

    Encore au manège de mon cœur esseulé

    Sur la piste de danse, les couples s’enlacent

    Et refont de nouveau, le tour de la pièce.

    Dans un coin intime, moi, je rêve de vous.

     

    Je veux croire encore au bonheur d’être femme

    Et de ressentir dans vos bras ses élans de passion.

    Le souvenir de vos baisers éclaire toujours mes yeux.

    Voyez combien mon âme vous cherche dans la nuit

    Sans vous je meurs toujours un peu plus chaque jour.

    ©Janedeau

     

    Le carroussel de vos émois

     


    votre commentaire
  •  

    .

     

    Votre souvenir

     

    Milord, voyez, écoutez, entendez mes soupirs

    Les jours d’hier habitent encore en mon cœur.

    Votre bon souvenir resté intact me poursuit

    Tout au long des nuits quand pleure le ciel.

     

    Écoutez, entendez le vent gémir dans les arbres

    Les étoiles restées accrochées sur leur cime

    Ont perdu la route de vos beaux yeux amoureux.

    Comment pouvez-vous penser que j’ai oublié

     

    Vos sourires traversent encore les ruelles éclairées

    Des printemps et des étés vagabonds d’autrefois

    Où j’y avais laissé s’endormir sur les pavés, mon âme.

    Voyez dans vos souvenirs comme je vous appelle.

    ©Janedeau

     

     

     

     

    .


    votre commentaire
  •  

     

    .

     

    Que de lambeaux de souvenirs

     

    Il n’y a plus de soleil éveillé sur les flots.

    La nuit ténébreuse de vos mots doux

    Se fracasse sur les récifs de mon cœur.

    Je n’éprouve plus que regrets et douleurs.

     

    Mon âme sombre entre espoir et désespoir.

    À vous regarder flirtez, je n’ose croire

    Que vous avez déjà oublié nos promesses

    Faite autrefois dans un échange de tendresse

     

    Dite-moi mon amour, me pardonnerez-vous

    D’être partie si loin de vous traversant les bayous

    Affrontant tous les dangers qui vous ont fait souffrir

    De me savoir peut-être perdue pleurant à gémir.

     

    Comme vous savez, je n’ai point rejoint ce fiancé

    Dont la méfiance à son égard, vous avez redouté

    Je ne vous ai jamais menti ni trahi ni désobéi

    Ma seule faute, prendre soin d’une chère amie.

     

    Elle a fermé les yeux sous un ciel d’ange témoin.

    Imaginez ma peine de la savoir maintenant si loin

    Je vous en conjure, ne laisser pas partir mon cœur

    N’enfouissez pas mon nom dans une rancœur.

     

    Je n’ai plus en ce jour de vent et de pluie d’automne

    Que des lambeaux de souvenirs grondants qui tonnent

    Sur les échos de vos mots d’amour disparus.

    Revenez, oublié très cher, cette mésentente aussi ardue.

    ©Janedeau

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique