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Par Janedeau le 10 Avril 2022 à 00:19
Encore un ancien écrit
publié déjà dans l'un de mes recueils
Duc D’Orlan De Chateauguay
Ce soir, face à ma fenêtre, dans la pénombre de la clarté de lune. Je vous écrits à l’encre violette de ma plume, ses quelques mots. Je ne sais quand votre voyage autour du monde vous ramènera en votre château. Vous m’aviez parlé aux alentours du 10 d’octobre…
Nous sommes aujourd’hui le 11, date mémorable, j’ai appris que vous étiez arrivé de nuit passée. Porterez-vous attention à mon message dans l’anonymat de vos serviteurs étant peu soucieux de nos amours ? Je vois déjà d’ici la belle Anastasia dans ses plus beaux atouts, se promenant dans vos jardins luxuriants et minaudant à votre oreille, des fadaises ridicules.
J’ose espérer que vous me lirez sans tarder et traverserez le jardin des roses pour me rencontrer.
Vous souvenez-vous de nos promenades sous la voûte d’un ciel rougeoyant, frivoles nous marchions jusqu’à la grande crique cachée des regards impudiques. Il y avait des éclairs flamboyants dans nos yeux et le ciel prêt à s’effondrer s’accrochait à nos étreintes. Quel songe éternel, en votre absence, je n’ai cessé de refaire chaque soir.
Chaque nuit portait un voile de douceur qui m’enveloppait tels vos bras autour de ma taille.
Sur la toile du paysage coloré d’un millier de fleurs, je me laisse emporter dans l’essence frissonnante de votre personne. J’ose espérer que des souffles d’amour viendront enfiévrer votre cœur et qu’en ce soir de pleine lune, vous viendrez à ma rencontre.
Votre bien-aimée Éloïse©Janedeau
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Par Janedeau le 26 Mars 2022 à 18:38
Ici égalent sont toutes d'anciennes poésie déposées
publié dans l'un de mes trois recueils
Donc tout plagiat est interdit
.
.Amour, amour
Amour, amour, où êtes-vous, que devenez-vous ?
Voyez-vous encore pleurer les champs de fleurs ?
L’automne à nos portes, indifférent, fane mon cœur.
Et me noie sous l’empire des tourments jaloux.
Cette autre dans vos bras, vous inspire-t-elle confiance
De galantes pensées à la rébellion de votre âme ?
Saurait-elle par hasard, attiser les feux de votre flamme?
Venant de ses pays lointains, elle fait montre d'innocence
Que savez-vous des amours passagers, de cette fièvre
Qui ne couvera qu’un seul instant au nid d’une nuit torride ?
Votre gite sur les sables mouvants d’une terre aride
Vous emportera assurément la grâce d’une étreinte mièvre.
Revenez à la raison mon cher amour, vous et moi, savons
Que c’est écrit dans les étoiles, que le fil de notre histoire
Remplit de tendresse et d’amour incendie tous les soirs
Et à jamais éclairera tous les faisceaux de notre maison.
J’aurai pour vous toutes les saisons des mélodieux printemps
Nos baisers éternels rendront jaloux la noce des oiseaux lyres.
Venez, oubliez ce gentilhomme qui n’était que faux prétendant
Qui ne voulait, pour notre grand amour, salir et démolir.
©Janedeau
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Par Janedeau le 9 Mars 2022 à 01:42
Ici égalent sont toutes d'anciennes poésie déposées
publié dans l'un de mes trois recueils
.
Le carrousel de vos émois
Cette petite fête sans vous mon cher ami
Me trouble encore plus que je ne l’aurais pensé
Votre voix, dans l’assemblée, me manque.
Le cercle de vos amis ne parle que de chasse
Et d’exploit fait pour conquérir le cœur de la reine
Tous ses bavardages m’ennuient fortement
Et ses jouvencelles regroupées tout autour
Ressemblent atrocement à un troupeau
D’oies blanches réunis caquetant inlassablement.
Entouré de ces galants soupirants, je me meurs.
Le carrousel de vos émois tourne et tourne
Encore au manège de mon cœur esseulé
Sur la piste de danse, les couples s’enlacent
Et refont de nouveau, le tour de la pièce.
Dans un coin intime, moi, je rêve de vous.
Je veux croire encore au bonheur d’être femme
Et de ressentir dans vos bras ses élans de passion.
Le souvenir de vos baisers éclaire toujours mes yeux.
Voyez combien mon âme vous cherche dans la nuit
Sans vous je meurs toujours un peu plus chaque jour.
©Janedeau
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Par Janedeau le 3 Mars 2022 à 19:05
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Votre souvenir
Milord, voyez, écoutez, entendez mes soupirs
Les jours d’hier habitent encore en mon cœur.
Votre bon souvenir resté intact me poursuit
Tout au long des nuits quand pleure le ciel.
Écoutez, entendez le vent gémir dans les arbres
Les étoiles restées accrochées sur leur cime
Ont perdu la route de vos beaux yeux amoureux.
Comment pouvez-vous penser que j’ai oublié
Vos sourires traversent encore les ruelles éclairées
Des printemps et des étés vagabonds d’autrefois
Où j’y avais laissé s’endormir sur les pavés, mon âme.
Voyez dans vos souvenirs comme je vous appelle.
©Janedeau
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Par Janedeau le 1 Mars 2022 à 22:43
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Que de lambeaux de souvenirs
Il n’y a plus de soleil éveillé sur les flots.
La nuit ténébreuse de vos mots doux
Se fracasse sur les récifs de mon cœur.
Je n’éprouve plus que regrets et douleurs.
Mon âme sombre entre espoir et désespoir.
À vous regarder flirtez, je n’ose croire
Que vous avez déjà oublié nos promesses
Faite autrefois dans un échange de tendresse
Dite-moi mon amour, me pardonnerez-vous
D’être partie si loin de vous traversant les bayous
Affrontant tous les dangers qui vous ont fait souffrir
De me savoir peut-être perdue pleurant à gémir.
Comme vous savez, je n’ai point rejoint ce fiancé
Dont la méfiance à son égard, vous avez redouté
Je ne vous ai jamais menti ni trahi ni désobéi
Ma seule faute, prendre soin d’une chère amie.
Elle a fermé les yeux sous un ciel d’ange témoin.
Imaginez ma peine de la savoir maintenant si loin
Je vous en conjure, ne laisser pas partir mon cœur
N’enfouissez pas mon nom dans une rancœur.
Je n’ai plus en ce jour de vent et de pluie d’automne
Que des lambeaux de souvenirs grondants qui tonnent
Sur les échos de vos mots d’amour disparus.
Revenez, oublié très cher, cette mésentente aussi ardue.
©Janedeau
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