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    Serge, je n'ai que mon cœur pour te dire

     

     

    Je voudrais savoir

     

    Je voudrais savoir, dis-moi qui te retient

    Qui t’emporte jusqu’au bout du monde

    Avec ses songes de papier pleins la tête,

    Qui a croisé le jour au fond de tes nuits ?

     

    L’ombre des ruisseaux, hier, m’a demandée

    Où tu avais caché les sourires de tes yeux ?

    Il ne miroite plus ce ravissant lagon bleu

    Qui baignait pour toi mes mots d’amour.

     

    Toi mon incroyable amour, n’as-tu pas vu

    Dans le grand livre ouvert du ciel, le soleil

    Dans des bateaux d’étoiles en train de rêver.

    N’as-tu pas vu mon cœur ancré à ton âme ?

     

    Je voudrais savoir si ses charmes t’attirent,

    Si quand souffle le vent, tu penses à moi.

    Dis-moi, as-tu écris mon nom dans tes rêves,

    M’emporteras-tu dans le voyage de tes jours ?

     

    Ma peine ce soir puise en ta rivière bleue

    Des larmes qui ne coulent plus sur mes joues.

    Puis-je encore espérer le souhait de ta rencontre ?

    Vois j’ai gardé sur mes lèvres, le goût de tes baisers.

    ©Janedeau

     

     


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    Pour Serge

    appel du fond du coeur

     

     

    Le bruit de l’aube 

    Le bruit de l’aube chuchote sous la pierre du ruisseau.

    C’est ton ombre endormie je crois qui éveille ma faim.

    Les hirondelles bercées par l’absence se sont tues.

    Le silence règne dans la vallée de toute la montagne

     

    Je n‘entends que les battements de mon cœur

    Qui t’appellent et ne crient que ton nom.

    La brise de l’aube n’étend que baisers d’ivresse

    Sur les champs de rosée et d’herbes verdoyantes.

     

    J’aime dans les bois, cet endroit de rosiers sauvages

    Et de fougères qui soulèvent des parfums enivrants.

    J’imagine ta main dans la mienne et ton ombre enlacée

    Sous les grands bouleaux blancs sous le ciel penché.

     

    Les yeux fermés, je rêve de toi, je rêve de ta voix.

    Les murmures de l’aube descendant tranquillement

    Dans l’orifice du matin font naître les coursiers du soleil.

    Éblouie, je n’ai que toi que l’écho de ta voix sur les lèvres.

     

     

    Je n’ai à perte de vue que ce silence qui fait mal,

    Que ton ombre endormie sous la pierre du rêve.

    Quand viendras-tu frapper à la porte de mon cœur

    Ô mon Dieu, ma souffrance me tue chaque jour.

    ©Janedeau

     

     


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    Écrit pour Serge

     

    Ton nom sur mon front

     

    Vois, le printemps des amours porte mon cœur

    Au seuil des grandes voiles blanches d’errance.

    Dans la lumière de ma mémoire, je t’aperçois

    Tu te promènes avec du bonheur plein les yeux.

     

     

    La nature habille ton âme de beaux paysages

    Et tes sourires échoués dans mes yeux, 

    Me frôlent soulevant les vents fous du désir.

    Ha que je t’aime toi l’errant de mes pensées.

     

     

    Dans la vallée fleurie des roses, tu vagabondes

    Avec mon cœur blottit au creux de tes mains

    Je sais que tu m’aimes, que je suis toujours ta fleur

    Qui a posé sur le cachet de nos deux âmes, le sceau.

     

     

    Divin vient le soir au crépuscule illuminé le ciel

    D’un rouge foudroyant quand tu sèmes des brises.

    Des rossignols perchés dans les arbres chantent

    Des mélodies d’amour pour raviver ton cœur.

     

     Que je t’aime dans l’air tiédi des nuits de lune

    Dans mon rêve, tu effeuilles les frissons de ma peau

    Je bois dans tes yeux la rivière de tes baisers.

    Mon amour, sur mon front, ton nom est marqué.

    ©Janedeau

     


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    Poétiquement, dédié à Serge

     

    Pour t’aimer, je n’ai que mon cœur

     

    Sur les cohérentes cimes blanches des aurores matinales

    J’attends que le soleil entre tes mains glisse sur mon corps

    Les oiseaux, dans la venue du jour, proclament ta grâce. 

    Dans mes yeux, des nébuleuses étoiles se réveillent encore.

     

     

    Ô mon bel amour, rêve si doux à l’orée de tes vents de brise

    Quand je cueille sur tes lèvres la douceur des rêves sauvages.

    Sur tes chemins de l’errance, je dépose des chuchotis d’ivresse.

    Qui enflamment la flamme de notre romance palpitante.

     

     

    Le cours des mots d’amour vogue en ta rivière bleue.

    Sous le sommet des cieux, frissonnante, je te cherche.

    Ma voix tremble comme l’ombre des grands peupliers

    Vois, je n’ai d’amour que mon cœur pour t’aimer.

    ©Janedeau

     


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  • Tristesse, il est pari sans un mot

     

     

    Les iles sous le vent

     

    Les îles sous le vent s’en vont dormant dans mon âme

    L’océan s’est perdu dans la brume de mes pensées.

    Vois, je scrute l’horizon, les yeux pleins d’étoiles de toi.

     

    Aucun voilier sur l’étendu de ta rivière bleue,

    Aucun naufrage pour m’emporter dans ton cœur.

    Il n’y a que solitude blanche aux bords des rivages.

     

    Je cherche ton ile, la nuit buvant que perles de rosée

    Tisse sur les nombreux chemins du rêve, ton nom.

    Pour te voir, je dois dessiner l’aube de ton visage.

     

    Pour éponger ma douleur, je dois écrire au langage

    Des vagues disparues, seuls entendent les oiseaux

    Les douloureux refrains étouffés par mes larmes.

     

    Les iles sous le vent, autrefois t’emportaient bercer

    Dans la saison des grandes marées de mon cœur.

     Depuis, je ne peux oublier l’ivresse de notre amour.

    ©Janedeau

     

     

    J'ai mis  des poésies sur l'ensemble de tous mes autres blogs

    voir ici en bas à droite si le coeur vous en dit


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